Marc, responsable de recrutement pour le téléphone rose (20ans d’expériences dans le domaine) vous explique les évolutions du métier et les secrets cachés de ce que les habitués appellent « le tel rose ». Explications : « J’ai débuté alors que je n’avais pas de diplôme en poche et à une époque internet n’existait pas. Le minitel rose quant à lui était vraiment au top du top avec le 3615 Ulla par exemple, un âge d’or pour le récit érotique et les histoires de sexe. A l’époque, c’était quand même un peu glauque et franchement personne n’avait envie de ce job qui était plutôt une question de survie dans mon cas. Plateforme téléphonique avec une vingtaine de mères de familles qui pratiquaient également le tel rose sans cb uniquement pour l’argent, c’était scripté et chacune passait de la soumise à la dominatrice d’appels en appels, ce qui parfois était absolument incohérent. Aucune odeur de mouille, personne ne se tripotait contrairement à ce qu’elles pouvaient dire. Si le minitel rose avait déjà mis une bonne claque au business, ce n’était rien face à l’arrivée d’internet et la boîte coula, ce qui n’était pas un mal à mon avis. J’ai pu alors monter ma propre société sur mes fonds personnels pour modifier tout cela : puisqu’internet existait, le télétravail (travail à distance) pouvait enfin exister. Il suffisait de mettre en place un site et un logiciel pour que mes animatrices travaillent à distance mais j’ai voulu changer les règles du téléphone rose : plus question d’avoir des femmes qui n’aiment pas cela, il ne me fallait que des libertines qui aiment le sexe et pratiqueraient sans aucun quota. Devinez où j’ai recruté ? Dans les clubs échangistes ! Celles qui étaient les plus exhibe mais qui ne pratiquaient pourtant pas forcément de la baise comme cela devant tout le monde m’intéressais car je sentais bien un potentiel qui ne se lâchait pas. Ca n’a pas raté, avec 3 recrues au départ, nous avons explosé nos prédictions. Tout était bien réel et mes collaboratrices libertines sur le tel rose ne venaient se connecter que lorsqu’elles avaient envie de se payer une bonne branle au téléphone. Client mystère par excellence, je test encore aujourd’hui les animatrices de mon tel rose. Je pense avoir trouvé la solution qui marche aussi bien pour les animatrices que pour les utilisateurs qui sont tellement satisfait qu’ils ne se contentent plus d’une branle au tel rose mais veulent plutôt lier amitié avec une libertine pour une relation à distance. Et ça marche ! Si vous êtes curieux par nature, je vous invite à tester l’un de nos numéros de tel rose et vous comprendrez vite la différence entre une ancienne époque et celle actuelle, celle ou les mœurs ont tellement évoluées que la relation de sexe à distance veut vraiment dire quelque chose. »